Farah Diba fortune et parcours complet

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Farah Diba Fortune a été un sujet de grand intérêt pour les historiens, les observateurs royaux et les admirateurs de la culture persane. En tant que dernière Impératrice d’Iran, elle a vécu une époque de transformation, de changement politique et d’exil. Connue pour sa grâce, son travail caritatif et son influence culturelle, Farah Pahlavi est devenue un symbole du passé royal de l’Iran. Son parcours, d’une jeune fille de la haute société de Téhéran à l’épouse de Mohammad Reza Shah, a été à la fois glamour et difficile. Même après avoir quitté l’Iran, elle a poursuivi son travail culturel et est devenue une voix importante pour la préservation du patrimoine iranien.

Farah Diba

Fortune nette200 millions $
Date de naissance14 octobre 1938
Taille1,75 m
NationalitéIranienne
Ville nataleTéhéran, Iran
ÉpouxMohammad Reza Shah (m. 1959 ; d. 1980)
EnfantsPrince héritier Reza, Princesse Farahnaz, Prince Ali Reza, Princesse Leila

Jeunesse et Origines Familiales

Farah Diba est née le 14 octobre 1938 à Téhéran, dans une famille riche et respectée. Elle est la fille unique du Capitaine Sohrab Diba, officier des Forces armées impériales iraniennes, et de Farideh Ghotbi, originaire de la ville côtière de Lahijan. La famille de son père venait de l’Azerbaïdjan iranien, tandis que celle de sa mère était d’origine gilak. Tragiquement, son père est décédé lorsqu’elle avait dix ans, ce qui a réduit la fortune familiale. Elle a fréquenté l’école italienne de Téhéran, puis l’école Jeanne d’Arc, avant de passer au Lycée Razi. Sportive douée, elle devint capitaine de l’équipe de basket de son école. Plus tard, elle partit à Paris pour étudier l’architecture à l’École spéciale d’architecture, où elle impressionna ses professeurs par son sérieux.

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Rôle de Reine et d’Impératrice

Farah Diba épousa Mohammad Reza Shah le 20 décembre 1959, devenant Reine d’Iran à l’âge de 21 ans. Leur mariage attira l’attention des médias du monde entier, sa robe ayant été dessinée par Yves Saint Laurent et son diadème étant le célèbre Noor-ol-Ain Diamond. Au départ, son principal devoir était de donner un héritier au trône. Cela se réalisa en 1960 avec la naissance du Prince héritier Reza, suivie de trois autres enfants. Une fois la succession assurée, elle s’engagea activement dans la vie publique. Elle promut l’éducation, les droits des femmes et les arts en Iran. Elle fonda l’Université de Chiraz, soutint les musées et fit rapatrier des artefacts persans anciens de l’étranger. Grâce à ses efforts, l’art iranien gagna en reconnaissance dans le monde occidental.

La Révolution Iranienne et l’Exil

À la fin des années 1970, l’Iran connut des troubles politiques qui aboutirent à la Révolution iranienne de 1979. La famille royale dut quitter le pays, et Farah connut la douleur de l’exil. Le Shah fut diagnostiqué d’un lymphome non hodgkinien, et en octobre 1979, ils se rendirent aux États-Unis pour son traitement. Ce voyage provoqua la colère des révolutionnaires iraniens et aggrava les relations entre les États-Unis et l’Iran, menant à la crise des otages américains. Ne pouvant rester en Amérique, le couple se déplaça entre différents pays, dont Panama et l’Égypte. En Égypte, le Président Anouar el-Sadate les accueillit et leur offrit un lieu de résidence. Mohammad Reza Shah mourut en 1980, et Farah perdit à la fois son mari et son rôle d’Impératrice. Elle quitta l’Égypte après l’assassinat de Sadate en 1981 et vécut ensuite aux États-Unis.

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Fortune Nette

La Farah Diba fortune est estimée à environ 200 millions de dollars. Cette richesse provient d’un mélange d’actifs personnels, d’héritages et d’objets précieux conservés de sa vie royale. Durant son règne en tant qu’Impératrice, elle avait accès à l’un des trésors royaux les plus riches au monde, comprenant des bijoux, des œuvres d’art et des artefacts culturels. Bien qu’elle ait laissé derrière elle beaucoup de biens en Iran après la révolution, elle a conservé sa stabilité financière grâce à une gestion prudente de ses ressources. Elle tire également des revenus de ses ventes de livres, notamment de ses mémoires « Un amour éternel : Ma vie avec le Shah », publiées en 2003, qui devinrent un best-seller en Europe.

Vie Ultérieure et Héritage

Après avoir perdu son trône et son mari, Farah Pahlavi consacra sa vie à la préservation du patrimoine culturel de l’Iran. Elle continua à jouer le rôle de mécène des arts, participant à des expositions et soutenant les artistes iraniens à travers le monde. Ses mémoires, publiées en 2003, offrirent aux lecteurs une vision personnelle de sa vie en tant que reine, épouse et mère durant des temps troublés. Elle a reçu de nombreux honneurs de différents pays, tels que la Grand-Croix de l’Ordre du Lion blanc et l’Ordre de l’Éléphant. Aujourd’hui, elle est considérée comme un pont entre le passé royal de l’Iran et son avenir culturel, respectée par les Iraniens vivant en Iran comme à l’étranger.

Vie Personnelle et Famille

Farah Diba est la mère de quatre enfants — Prince héritier Reza, Princesse Farahnaz, Prince Ali Reza et Princesse Leila. Malheureusement, elle a connu des tragédies personnelles, avec les décès de Prince Ali Reza en 2011 et de Princesse Leila en 2001. Malgré ces pertes, elle reste proche de ses enfants survivants et de ses petits-enfants. Elle possède des résidences aux États-Unis et en France, où elle passe du temps avec sa famille, ses amis et des membres de la diaspora iranienne. Même à un âge avancé, elle continue d’assister à des événements culturels et de parler publiquement de sa vie, gardant vivant le souvenir de l’histoire royale de l’Iran.

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Conclusion

L’histoire de Farah Diba est celle de l’élégance, de la résilience et du dévouement culturel. De sa jeunesse à Téhéran à ses années en tant qu’Impératrice d’Iran, puis à sa vie en exil, elle est restée attachée à son peuple et à son patrimoine. La Farah Diba fortune reflète non seulement sa richesse, mais aussi la valeur de ses contributions à l’éducation, à l’art et à l’émancipation des femmes. Aujourd’hui, elle demeure un lien vivant avec un chapitre de l’histoire iranienne qui continue de fasciner le monde.

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